À l’heure où la décarbonation devient une priorité, la technologie Ecopra se distingue par son approche simple et applicable aux moteurs thermiques existants. Contrairement aux solutions coûteuses ou complexes, elle agit sur le comburant — l’air admis dans le moteur — plutôt que sur le carburant. Ainsi, elle permet une combustion plus propre et plus efficace.
Cette innovation 100 % française attire l’attention, notamment celle de responsables publics. En effet, plusieurs élus se sont mobilisés pour faire reconnaître Ecopra comme une solution crédible de décarbonation.
Des soutiens politiques jusqu’à l’ADEME
En septembre 2019, le député Benoît Simian a adressé une lettre à l’ADEME pour présenter la technologie Ecopra. Il y rapporte une réduction de consommation de carburant de 20 %, accompagnée de gains sur les émissions polluantes, la température des fluides et la charge moteur.
Plus récemment, en 2023, le député Grégoire de Fournas a déposé une question écrite au gouvernement. Il soulève la possibilité de revoir le classement Crit’Air des véhicules équipés du système Ecopra, notamment dans le cadre des zones à faibles émissions (ZFE). Selon lui, cette technologie pourrait réduire les émissions de CO₂ de 15 à 30 %, et les particules de 50 à 80 %.
Ces interventions montrent clairement que Ecopra décarbonation n’est pas qu’une promesse : c’est une option déjà soutenue politiquement.
Une technologie mécanique, adaptable et propre
Le système Ecopra repose sur un principe simple : améliorer l’air admis dans le moteur. Cela entraîne :
- Une combustion plus homogène et plus froide
- Moins de pollution (CO₂, particules, NOx)
- Une réduction sonore jusqu’à 5 décibels
- Moins de consommation et plus de longévité moteur
De plus, cette solution ne nécessite aucune modification constructeur, ni ajout de composant chimique ou électronique. Elle est donc parfaitement adaptée aux flottes existantes, y compris dans les secteurs industriels ou les collectivités.
En d’autres termes, Ecopra permet d’agir directement sur le parc roulant existant. Et cela, avec une intervention légère, à faible coût, tout en répondant à une problématique sociétale profonde : l’économie financière des usagers et la dépollution des moteurs thermiques.
Une réponse à la fois écologique et sociale
Aujourd’hui, les politiques de transition énergétique doivent répondre à deux contraintes : l’urgence climatique et l’acceptabilité sociale. Ecopra décarbonation coche ces deux cases : elle est peu coûteuse, facile à installer, et elle prolonge la vie des véhicules au lieu de les rendre obsolètes.
Elle représente une alternative crédible à l’électrification systématique, surtout pour les véhicules thermiques déjà en circulation.
Vers une reconnaissance institutionnelle ?
Il appartient désormais à l’ADEME et aux autorités publiques d’aller plus loin. Une reconnaissance réglementaire, une évaluation nationale, ou même un classement Crit’Air adapté seraient des leviers puissants pour déployer cette technologie à grande échelle.
En effet, Ecopra prouve qu’il est possible de décarboner sans tout reconstruire, en optimisant simplement ce qui existe déjà.
Conclusion : Ecopra décarbonation, une innovation de bon sens
Ecopra décarbonation incarne ce que devrait être l’innovation aujourd’hui : simple, efficace, accessible, et soutenue par les acteurs du changement. À l’heure des décisions urgentes pour le climat, cette solution française mérite toute l’attention des pouvoirs publics et des entreprises.